Divulgation n°12-12 : Récupération de technologie "d'anciens aliens" !

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Divulgation n°12-12 : Récupération de technologie "d'anciens aliens" !

Divulgation Cosmique Série 12 : Épisode 12 : Récupération de la technologie des "anciens aliens" !


Par George Noory et Emery Smith




Georges Noory

Bienvenue dans Divulgation Cosmique, je suis George Noory et avec moi Emery Smith.
On parlera de récupération spatiale dans cet épisode.
George Noory : Emery, bienvenue dans Divulgation Cosmique.

Emery Smith : Bonjour George, merci de ma recevoir.
George Noory : La récupération spatiale, c’est quoi ça ? 




 

Emery Smith : Comme ces bateaux, là-bas, dans l’océan qui récupère les épaves, une action d’envergure a lieu actuellement dans nos atmosphère et exoatmosphère dans notre système solaire. Ca consiste en une activité journalière constante de navettes allant dans l’espace pour récupérer des débris spatiaux. Pas seulement des débris spatiaux qu’on avait laissés là, mais des débris spatiaux là depuis des millions d’années, des engins abattus, des corps, des dispositifs.
George Noory : Qui va les récupérer ?
Emery Smith : Nous allons les collecter, la civilisation humaine. Les corporations ont engagé ces grands fabricants de fusées pour y envoyer ces navettes. Il y a aussi déjà des stations spatiales avec ces techniciens et mécaniciens Qui y sont tout le temps. Ils collectent ces matériaux, les mettent dans ces capsules et les renvoient sur Terre où on les récupère dans l’océan pour les emmener dans nos laboratoires, pour étudier si ce sont des fibres, des métaux, des composites, voire des corps.
George Noory : Mais ce sont des débris spatiaux ?
Emery Smith : Mais comme nos déchets, ils peuvent être recyclés, on peut apprendre des choses. Car beaucoup ne sont pas terrestres. Il y en a bien plus qui flottent là-haut. Tout le système est rempli de ces débris spatiaux qui y flottent. Il y a des vaisseaux qui ont été endommagés ou qu’on a fait exploser.
George Noory : De vieux satellites morts.

Emery Smith : Des vieux satellites et des trucs comme ça qui ne viennent pas de la Terre. On a trouvé aussi de nombreux drones de civilisations extraterrestres qui n’ont pas survécu.
George Noory : Le président a proposé une Force spatiale.
Une des missions sera de continuer à récupérer les satellites qui sont là-haut.

Emery Smith : Oui, à terme, ce sera juste une entité opérée par des civils qui sera publique et pas vraiment clandestine.
Là, c’est juste réservé aux gens qui ont l’argent pour collecter des choses, les rétroconcevoir et les utiliser pour les vendre.
Tout ce truc sur la Force spatiale, ça me fait un peu rire. Car ça existe déjà, de ce que je sais, depuis 1990. Pour qu’ils disent : "On a besoin de 14 milliards de dollars pour créer cette Force spatiale." Un peu comme la NASA secrète qui fait déjà tous ces trucs depuis longtemps. Et la NASA officielle ne le sait pas. C’est juste une couverture. Donc, je crois que ce qui se passe, pour que les américains acceptent de le financer avec des taxes, ils doivent dire : "On va avoir une Force spatiale."
On avait déjà la capacité de lancer des missiles depuis l’espace, comme je l’ai dit, il y a 20 ans. On a déjà des rayons laser puissants pour tirer sur la Terre et dans l’espace.
George Noory : On l’a vu, oui.
Emery Smith : Il y a de nouveaux satellites là-haut qui ont des télescopas très puissants et des systèmes de localisation pour pister des choses au fin fond de notre système solaire. On sait donc où chaque débris se trouve, et s’il bouge tout seul ou non.
George Noory : On parle d’un satellite appelé le Chevalier noir. Le rechercheraient-ils aussi ?
Emery Smith : Je n’en sais pas vraiment. Je n’analyse pas trop ces trucs populaires sur Internet. Je sais juste qu’il y a des engins comme ça là-haut, de grands vaisseaux qui ont été abattus. Ils flottent juste dans l’espace. Certains sont en orbite autour de la lune, autour de planètes à proximité, autour du soleil. Ils n’apparaissent que de temps en temps, mais sont une sorte d’orbite elliptique. Des trucs viennent quotidiennement près de la Terre où ils sortent voir ce qu’est ce truc géant. Est-ce un astéroïde? Un vaisseau abandonné ? Il y vont et font de leur mieux pour attraper ces trucs.
George Noory : Emery, vous parlez de stations spatiales, là-haut. Qu’y a-t-il d’autre ? 




 Emery Smith : Il y a d’autres stations là-bas et des stations en construction de la même taille, mais un peu différentes. Elles hébergent des techniciens et des scientifiques pour retirer tous les débris, mais aussi pour contrôler différents types de satellites qui sont un peu plus loin. On a aussi des drones satellites qui peut manœuvrer dans le système solaire, que ces gens contrôlent. Mais c’est plus facile de le faire de là-haut que depuis la Terre.
George Noory : Quelles corporations sont impliquées dans ces projets ici ?
Emery Smith : Les entreprises aérospatiales scientifiques, je ne dirais rien.
George Noory : On les connait.
Emery Smith : Vous les connaissez, oui. Elles ont aussi des sous-entités. Et elles créent des sous-entreprises sous ces corporations, pour faire croire qu’elles n’ont pas de vrais liens avec elles. Ça dépend de ce qui s’est passé. Il y a beaucoup d’accidents spatiaux dont on entend pas parler. L’armée contacte et dit à ces entreprises : "Au fait, on a eu un petit problème là-haut. Pourriez-vous réparer le satellite, ou récupérer ce truc, si possible ?"
Ils ont leurs propres petits vaisseaux, plus petits que les nôtres, qui manœuvrent dans l’espace, dans notre atmosphère et dans l’exoatmosphère. Il y a aussi de plus petites versions de ce type de capsules. Imaginez un type de side-car pour se déplacer dans l’espace, pour une ou deux personnes. En orbite tout le temps et qui s’amarrent à ces navettes et stations spatiales.
Et on a un satellite tueur très spécial là-haut qui peut envoyer une onde CEM, une onde perturbatrice électromagnétique.

George Noory : Et détruire un satellite ?
Emery Smith : Totalement, le détruire en une demi-seconde, pour le démolir complètement. Mais ce que je ne comprend pas, on envoie toutes ces nouvelles armes dans l’espace, mais quelqu’un avec un générateur puissant d’impulsions de fréquences électromagnétiques, pour en toucher un d’ici. Ils ont des satellites et radars spéciaux là-haut qui détectent ces types de rafales d’impulsions électromagnétiques. Ils peuvent, en gros, se focaliser et trianguler exactement où, d’où elles viennent.
George Noory : D’accord, mais qui les envoie ?
Emery Smith : Tout ce qui sort de notre atmosphère est contrôlé. Donc, si une entreprise ou un pays lance un truc dans l’atmosphère qui est un satellite à haut risque, qu’ils vont surveiller de près, pour voir quel type de fréquences il émet. Et lui envoyer des rayons X pour en fait, le décortiquer de très loin.
George Noory : L’Union Soviétique a envoyé un satellite autour d’une lune de Mars, il y a de nombreuses années. Et il y a eu un objet approchant ce satellite. Et, soudain ce satellite disparaît. Je crois que c’était une navette extraterrestre. Est-ce possible ?
Emery Smith : Tout à fait. Tout ce qui sort de notre exoatmosphère et va au-delà, est sous haute surveillance. Et il savent ce que… ils connaissent les intentions derrière ces satellites. Ils peuvent dire : "On veut juste voir les pierres sur Mars." Mais en fait, ils veulent lâcher une bombe sur Mars pour y mesurer les fréquences et les changements dans l’atmosphère et tout ça. Beaucoup de projets clandestins sont lancés dans l’espace et on nous dit que c’est de l’exploration spatiale ou ceci ou cela. Mais en fait, ils ont d’autres plans qui, souvent, sont négatifs.
George Noory : Comment se passe l’extraction ?
Emery Smith : Ils ont de petites navettes qui ont les bras articulés qu’on voit sur la vieille navette spatiale. Des trucs industriels, vraiment vieux. On utilise encore le gaz, le charbon et le pétrole. Et rien n’est anti-gravité, pour ce qui est de la collecte des débris. C’est une vieille façon, archaïque d’aller là-haut, toujours avec du propergol, envoyant des provisions là-bas. C’est pour ça que ces fusées continuent à y aller. Ces petits buggies spatiaux que je disais, ces petits side-cars flottants, ont ces bras de crabe pour attraper de très petits objets qui sont localisés. ils les ramènent à la navette, puis à la station spatiale. Et c’est une activité quotidienne constante.
George Noory : Quand vous parlez de récupérer des corps, quel type de corps ?
Emery Smith : Il y a des accidents dans l’espace. Parfois, un corps est retourné, congelé dans l’espace. Il peut être humain, humain extraterrestre. Pas nés sur la Terre, je veux dire.
George Noory : OK, une possible hybridation.
Emery Smith : Une hybridation, oui. Ils ont collecté des espèces différentes.
George Noory : Avec de l’ADN humain ?
Emery Smith : Avec de l’ADN humain, oui. Tous les extraterrestres ont de l’ADN humain. Ils les trouvent par radar, montent les chercher, les ramènent, et les renvoient sur Terre dans ces capsules. On reçoit différentes parties en fibres, des métaux et des choses comme ça qui sont rétroconçus. Ils ont des navettes entières. Mais ils ne peuvent les ramener en surface.
George Noory : Trop grandes ?
Emery Smith : Trop grandes, ou ils ont peur que s’ils les y descendent, ils pourraient brûler ou blesser quelqu’un.
George Noory : Ou contaminer.
Emery Smith : Ou contaminer. Donc, en fait, ils envoient ces unités de récupération pour démonter la navette ou l’analyser et la filmer et en apprendre le plus possible, et en emporter des parties. L’analyser avec des radars très avancés pour voir ce qu’il y a dans les murs, ce que sont les unités de propulsion, ce genre de choses.
George Noory : Qu’avez-vous vu de particulier, Emery ?
Emery Smith : J’ai juste vu des pièces en métal, des armes, des appareils médicaux, des corps, des parties de vaisseaux, des unités de propulsion de vaisseaux ramenées, dans les programmes compartimentés, dans les installations souterraines où j’étais, où ils ont de grands entrepôts pour ces trucs. Et bien sûr, les corps vont dans une zone différente. Voila ce que j’ai vu.
George Noory : Quelle est la chose la plus incroyable de tout ça ?
Emery Smith : Leurs matériaux, je crois. Quand ils font tous ces tests dessus et su’il s’agit de métaux qu’on a pas vraiment ici sur Terre, ou d’un alliage de certains métaux, comment ils ont liés ces atomes pour créer ces matériaux vraiment incroyables qu’on utilise maintenant pour la protection et les implants et plein d’autres choses.
George Noory : Vous étiez plus enthousiasmé par des métaux récupérés que par des corps d’aliens ?

Emery Smith : Comprenez bien, je vois des corps tout le temps. Ce n’était donc pas impressionnant. Mais savoir que le monde peut changer à cause d’un seul matériau qui peut nous protéger, à cause d’une pièce de métal. Ils les utilisent dans les navettes, pour les armes, dans les avions, dans le domaine médical. Ils en utilisent certains, bien sûr, pour les corps, pour des trucs pharmaceutiques. Ils les rétroconçoivent, donc ou tentent de les copier. On tente d’apprendre comment ils ont fait.
Ce programme, je l’appelle la NASA secrète. D’autres préfèrent "SSP" et ces termes populaires. Mais ça existe depuis un moment. Ils ont des navettes très avancées. Des combinaisons très avancées. Pas ces énormes combinaisons qu’on voit à la télé ou ces trucs que portent Neil Armstrong et Buzz Aldrin. Elles permettent…

George Noory : De bouger.
Emery Smith : Elles sont très flexibles, mobiles, avec des matériaux solides qu’on a rétroconçus. Les casques peuvent devenir transparents ou foncés électroniquement. Ils ont leur propre atmosphère dedans. On peut survivre dans ces combinaisons pendant des jours. Et pour respirer, uriner, et déféquer, tout ça est pris en compte dans ce type de combinaisons. C’est une sorte de mix de combinaison spatiale qu’on portait avant et un…
George Noory : Un truc qu’un pilote porterait…
Emery Smith : Non…
George Noory : Tout serré ?
Emery Smith : Non, pas la combinaison pressurisée. Mais vous voyez les triathloniens, dans l’océan? Ils portent ces combis épaisses en néoprène parfois. Ou les plongeurs en Antarctique qui ont une cagoule et tout ça. Imaginez donc cette grosse combinaison qui devient tout ajustée au corps.
George Noory : Qui permet de bouger.
Emery Smith : Tout à fait, elle a des articulations partout.
George Noory : Dedans ?
Emery Smith : Elle est ambidextre. D’un seul tenant, oui. Et elle se zippe dans le dos. Le casque s’attache à un cadre en aluminium dans le cou. C’est un grand morceau de verre composé de quatre segments avec du métal entre eux pour les séparer. Mais il a quatre ou cinq cotés. 




Dedans il y a un affichage frontal. La communication se fait au niveau du cou. L’ordinateur au niveau du cou envoie des trucs sur l’écran.


On peut aussi voir des vidéos en direct qui sont retransmises depuis une plateforme. Je pourrais voir ce que vous voyez si je le voulais. Et il est tout… Il peut être activé vocalement. 




 

Il y a souvent un dispositif de com connectant quatre ou cinq astronautes en même temps. Un peu comme dans Matrix, où on a ce type qui est à son ordinateur.
George Noory : Juste.
Emery Smith : Et les autres sont dans la matrice. Et il communique avec eux et…
George Noory : Il les contrôle.

Emery Smith : Il contrôle tout. Un peu comme ça. Il y a toujours un grand… C’est un travail en équipe. Ça peut devenir l’enfer très vite là-haut, il y a beaucoup de protocoles.
George Noory : Et les chaussures sont aussi autonomes ?
Emery Smith : Pas les chaussures.
George Noory : Ha non ?
Emery Smith : Les gants, les chaussures et le casque ne le sont pas. Ils sont tous en aluminium très léger. Ils s’encastrent et se scellent. Et il y a un bouton qui pressurise toute la combi, une fois scellée. Et il y a des senseurs sur toute la combi pour savoir si il y a des failles de pression et tout ça.
George Noory : Des fuites.
Emery Smith : Et le plus cool, la raison pour laquelle les pieds, le casque et les mains sont séparés est que ce sont souvent des endroits où on se fait des coupures et tout ça. Ils sont dons automatiquement scellés avec du caoutchouc à l’intérieur au cas où, disons, si je coupe mon gant. Il se pressurise immédiatement, pour ne pas perdre de pression ailleurs.
George Noory : Ha OK.
Emery Smith : Comme une combi anti-g, mais de plus petites parties de la combi peuvent le faire. Comme une combi anti-g pressurisée pour les pilotes de F-16 et tout ça. Beaucoup de ces choses se basent sur les plantes récupérées qui sont à l’épreuve des balles, les feuilles et tout, et qu’ils ont retroconçus après les voyages par portail. Et aussi des combinaisons rétroconçues qu’ils avaient commandées à d’autres aliens, des trucs comme ça. Ce n’est définitivement les mêmes trucs que ce qu’on utilise.
De nombreuses chose qu’on voit dans les navettes old school et les anciennes combinaisons étaient en fait… Il disent peut-être que c’était ceci ou cela, du polycarbonate, de la fibre de carbone, vous voyez. Beaucoup de choses ont été rétroconçues, mais ils ne le diront pas. Ces trucs sont donc définitivement des combinaisons rétroconcues, car je sais avec certitude, car quand je travaillais avec les super combinaisons sur les bases extraterrestre, tous ces trucs étaient aussi rétroconçus. Et beaucoup étaient en graphène mélangé à du titane.
George Noory : Emery, quelles sont les capacités de nos équipement et satellites ?

Emery Smith : On a des satellites qui peuvent zoomer en très haute définition, contrairement à ce qu’on a. Voir de nombreux spectres différents de lumière aussi. On peut viser dans l’espace et voir les navettes qui arrivent et combien de gens il y a.
George Noory : Ca alors !

Emery Smith : Et aussi pour les satellites là-haut. On peut les scanner de très loin, voir tous ses composants, s’ils transportent du plutonim ou des matières radioactives, et obtenir ces infos en quelques secondes ici en bas sur Terre, pour savoir s’il s’agit d’une menace ou non.
George Noory : Certains pays ont des débris là-haut, pêtent-ils un câble en apprenant qu’on les récupère ?
Emery Smith : Non, car vous devez voir ça comme des entreprises qui collaborent. Beaucoup de ces entreprises sont présentes dans le monde entier. Mais ils sous-traitent. SpaceX ne sait pas ce qu’elle voit dans l’espace. C’est un contrat c’est classifié. Ils ne savent rien. C’est déjà emballé et rempli. C’est un environnement très contrôlé. Comme nous ici, quand à ce qu’on peut faire, c’est la même chose là-haut. Et ces entreprises ont une grande influence là. Et il n’y a personne pour révéler ces fait, d’ailleurs.
George Noory : Reviennent-ils en disant au gouvernement chinois : "On a récupéré un de vos satellites HS. Voulez-vous le reprendre ?" Le font-ils ?
Emery Smith : Parlez-vous des entreprises ?
George Noory : Oui.
Emery Smith : Elles n’en auraient pas l’utilité. Mais s’ils le voulaient, ils pourraient, s’il ne fonctionnait pas. S’ils souhaitent informer l’administration scientifique et spatiale chinoise, en fait, ce serait à eux de voir. Je ne crois pas qu’il y ait quoi que ce soit pour encourager une guerre ou s’approprier la propriété de quelqu’un. Car une propriété là-haut est une propriété. Que ce soit une propriété endommagée ou un satellite actif, ou un corps, c’est une propriété ayant son origine dans le monde.
Une chose très intéressante qu’on a récupérée était un bras de type reptilien sur un morceau de métal de 3 mètres. Et on a trouvé plus tard que c’était une arme. 




George Noory : Mince alors ! D’où ?
Emery Smith : Elle flottait avec d’autres déchets.
George Noory : D’où venait-elle ?

Emery Smith : On ne sait pas. C’est un bras reptilien de type grenouille avec trois doigt. Je veux que vous vous imaginiez ce long bras et cette lance de trois mètres. Le bras seul devait faire 1m20 ou 1m50 de long. C’était donc un être très grand. La main et les doigts étaient moulés pour former cette lance géante. 




 

George Noory : Et le reste du corps ?
Emery Smith : Aucune idée. On a rien trouvé d’autre.
George Noory : D’accord.
Emery Smith : Mais on a trouvé des corps similaires à ce bras avant. Je les ai vu dans les projets. Je n’en connais pas la race spécifique. je sais juste que l’ADN, quand ils l’ont extrait du bras, correspondait à l’ADN de ce métal. Ce métal avait un ADN. Il y avait donc une connexion biologique. Il paraissait vraiment moulé. On a d’abord cru qu’il avait peut-être juste fondu dans l’explosion de la navette. Et le corps a peut-être été vite inséré dans cette lance géante. Mais non. On a découvert plus tard qu’il peut transdimentionnellement mettre sa main dans le métal et utiliser l’arme.
Comprenez bien, il se passe beaucoup de chose là-haut, c’est très dangereux, donc en ramenant ces débris spatiaux sur la planète, en les rétroconçevant, en perfectionnant notre technologie spatiale, nos combinaisons, nos navettes et tout ça, ça nous permet de passer au niveau suivant. Qu’ils déclassifient ça bientôt, je crois que ça arrivera. J’ai entendu qu’ils changeaient déjà les combinaisons spatiales. Je n’ai rien vu, mais j’en ai entendu parler.
George Noory : Pourquoi les aliens ne récupèrent-ils pas leurs propres trucs ?
Emery Smith : Je crois qu’ils le font quand ils peuvent. Mais ils veulent aussi rester en dehors d’ici, de cette atmosphère, pour nous laisser prospérer. Et ils nous observent et voient ce qu’on fait. Souvent ils mettent des trucs dans l’espace, exprès pour nous aider.
George Noory : Ils les mettent là ?
Emery Smith : (rire) Oui, ils implantent des trucs là-bas. Ils font donc ça pour nous encourager pour rétroconçevoir des trucs et nous aider avec des découvertes scientifiques qu’on fait ici sur Terre tout le temps.
George Noory : Notre planète est-elle unique dans l’univers ?
Emery Smith : Oh, elle est définitivement unique dans l’univers avec toutes ces espèces différentes et son atmosphère merveilleuse. Cette planète existe depuis des millions d’années. Elle a été visitée des millions de fois. Et elle a eu de nombreuses civilisations différentes au cours de sa vie, et dans la Terre aussi.
George Noory : Connaissez-vous des gens ayant été récupérer des objets dans l’espace ?
Emery Smith : Absolument.
George Noory : Des amis ?
Emery Smith : Des collègues.
George Noory : Reviennent-ils avec d’incroyables histoires ?
Emery Smith : Toujours. C’est toujours une aventure. C’est comme entrer dans une nouvelle civilisation ou découvrir l’intérieur d’une pyramide. Je vois ça comme… si j’étais un archéologue amateur. Donc si je fais une découverte, c’est toujours très excitant, que ce soit juste une pierre qui a une forme qu’on a taillé il y a des millions d’années ou un os jamais vu avant.
Une autre découverte qu’ils ont faite ressemblait à un ballon de basket, mais c’était une sphère parfaite en cristal. Et elle était très dense. Et elle était juste là. D’après eux, ça avait pu être un vaisseau inconscient. Car ils pensaient qu’il bougeait tout seul. 




 

N’oubliez pas, tous les débris sont localisés dans l’exoatmosphère. Et un truc nouveau, il serait tout le temps là. On le saurait, surtout en orbite. ils le savent toujours. Ils localisent tous ces trucs, même au-delà de 25 kilomètres. Il prend donc l’appareil et le ramène. Ils étaient très précautionneux avec, car ils n’ont jamais vu… car un morceau de verre là-haut ne survit pas comme ça.
George Noory : Oui, bien sûr.
Emery Smith : C’est visiblement une sorte de matériau différent, quelque chose. Ou ça pourrait être une civilisation.
C’est peut-être une navette. Ils ont dû contrôler ça dans l’espace. la grande question était : quand devrait-on ramener ceci sur Terre? Devrait-on le faire? car on ne peut pas faire de tests.
George Noory : Que ramène-t-on ?
Emery Smith : On n’y a pas les bons équipements, les laboratoires.
George Noory : Car c’est une récupération.
Emery Smith : Oui, mais c’était différent. Ce n’était pas… D’où cela venait-il ? Ça n’a pas l’air d’un déchet en métal, en tous cas. Ils l’ont donc fait. Ils l’ont monté dans la navette. ils l’ont mis dans une de ces capsules et ils l’ont ramené sur la planète.
George Noory : Et que s’est-il passé après ça ?
Emery Smith : Ils ont découvert que c’est une sorte de dispositifs énergétiques. Et ils ne peuvent toujours pas le décoder. C’était il y a longtemps. On parle de 1994, 1995. J’ai entendu qu’ils en avaient collecté d’autres depuis. Des collègues m’en ont parlé.
C’est une sorte de dispositifs énergétiques qui tire de l’énergie de là où il se trouve. Et il émet une fréquence spéciale qui guérit.
Ils ont fait des tests avec des cellules en croissance autour, des cellules de plantes. Des cellules humaines en croissance, des cellules animales, des champignons, plein de tests incroyables.
George Noory : Ca a fonctionné ?
Emery Smith : Et ça a marché, étrangement.
George Noory : Emery, vous avez parlé de navettes qui ont pu être là-haut. A-t-on pu les identifier ? Et si oui, d’où venaient-elles ?

Emery Smith : On a une grande base de données dans les labos compartimentés. Si vous êtes sur un projet, et travaillez sur un corps extraterrestre en particulier, et d’un coup, ils veulent me sortir de là pour aller voir la navette de cet alien. Dont je ne savais rien. On ne m’avait pas débrieffé sur la navette, car je ne peux pas poser ces questions. On ne peut rien faire sans autorisation.
George Noory : OK.
Emery Smith : J’ai pu ainsi augmenter mon habilitation de sécurité tous les trois mois. Donc vous y aller. On prend des échantillons de la navette. On les ramène et compare avec l’ADN de l’alien. Comme je l’ai déjà dit, il y a une correspondance. Et ça va dans la base de données. Et sachez que je ne suis pas le seul technicien là. Il y a d’autres scientifiques et techniciens.
George Noory : Toute une armée.
Emery Smith : Sur des navettes et corps différents. il y a donc une énorme base de données. Et c’est ce qui m’a intrigué et rendu accroc à ce poste, car c’est comme regarder dans une encyclopédie des espèces de l’univers.
George Noory : Ça a dû être formidable.
Emery Smith : C’était tellement profond. Particulièrement au vu des corps, des photos, des vidéos et des autopsies qu’ils avaient déjà filmées avant que je sois là. Savoir que ça existe depuis si longtemps, et là, ce sont de nouvelles espèces répertoriées dont on avait pas de trace, et sur lesquelles je travaillais, qui sont toujours sûrement encore aujourd’hui… comme vous dites, ils vérifient la correspondance des espèces avec les navettes pour voir d’où ils viennent.
Ils créent cette énorme base de données, arbre généalogique de l’ADN, des extraterrestres et de la navette. Ils filment tout ça et les intègrent dans les systèmes automatisés compartimentés. Je sais qu’une des bases de données principales se trouve dans une base souterraine au Nouveau Mexique. Et l’autre est dans l’espace, dans un coffre. Il y a un coffre dans l’espace.
George Noory : Ce sont nos semences, là, dans l’espace ?
Emery Smith : Oui voila. Il y a aussi des installations souterraines dans l’océan. Il y a trois ou quatre coffres où ces données ne peuvent être hackées. Une fois là, on ne peut pas envoyer de signal. On ne peut rien y télécharger. Ça doit être fait manuellement. C’est très archaïque, mais en même temps, c’est le plus intelligent à faire.
George Noory : Et ça marche.
Emery Smith : Et ça marche.
George Noory : La récupération continuera-t-elle?

Emery Smith : Oui. Ça sera un gros business, je crois. Car la communauté civile doit nettoyer nos débris spatiaux déjà là-haut. Ils rendront ça public bientôt. Je ne serais pas surpris si dans les six mois après, ils disent : "on doit maintenant nettoyer tout ce fatras là-haut". Et plus tard : "Au fait on a trouvé ce débris, on ne sait pas ce que c’est." Mais ils le font déjà depuis 20 ans.
Je crois qu’il y aura donc une divulgation d’informations au public, très bientôt.
George Noory : Merci d’être venu, Emery.
Emery Smith : Merci de m’avoir reçu, George.
George Noory : C’était Divulgation Cosmique, avec notre invité, Emery Smith. Et merci de nous avoir suivis.

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