Titre : Divulgation Cosmique 11/14 : De l’État Profond à la NASA !
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Divulgation Cosmique 11/14 : De l’État Profond à la NASA !
Divulgation Cosmique Saison 11, Episode 14 : De l’État Profond à la NASA !
David Wilcock : Bienvenue Dans Divulgation Cosmique. Je suis David Wilcock, ici avec moi, Emey Smith et Corey Goode.
On a tout un tas d’informations privilégiées pour vous, dans cet épisode.
Emery, bienvenue.
Emery Smith : Merci Dave.
David Wilcock : Corey, merci d’être venu.
Corey Goode : Merci.
David Wilcock : Emery, une chose étrange dont on a parlé dans Divulgation Cosmique, est de l’idée qu’il y a en fait, deux types majeurs différents de programmes spatiaux. Et, en gros, l’un deux n’a aucune idée de l’existence de l’autre. Corey, pouvez-vous nous éclairer ?
Parce que je suis curieux d’entendre ce qu’il a à dire.
Corey Goode : Bien sûr, ce qu’on appelle le Programme Spatial Secret du Complexe militaro-industriel (MIC), vous le connaissez déjà sûrement. Ce sont l’AIR Force et la DIA principalement, qui le contrôlent. Et il se compose surtout de deux stations spatiales, qui ont 50 ans ou plus, un peu plus d’avance que la SSI, à environ 600 à 800 kilomètres en orbite. Et elles sont approvisionnées par ces navettes triangulaires qui… – de type TR-3B, vous voyez…
Emery Smith : Oui, je vois très bien.
Corey Goode : Et on a quelques satellites habités dans l’espace…
David Wilcock : Attendez, vous voyez ? Comment ça ?
Emery Smith : Quand j’étais au Space Coast Aeromedical Institute, on a été engagés comme astronautes pour aller à ces endroits et faire des tests pour des voyages spatiaux de longue durée, pour des âtres humains.
David Wilcock : Vraiment ?
Emery Smith : Ils tentaient… de trouver une manière de faire durer notre corps plus longtemps dans l’espace, avant qu’il ne se dégrade.
Corey Goode : Où alliez-vous faire ces tests ? Car il y a quelques installations qui ont des astronautes de l’AIR Force. C’est complètement…
Emery Smith : Oh je comprend. Comme je disais, je travaille en Floride au Space Coast Aeromedical Institute, quand j’ai créé mon appareil à cellules souches de plasma, riche en plaquettes. Ils ont pensé que ça pourrait être utile pour les propriétés régénératrices dans l’espace. Ils voulaient concentrer ces cellules dans l’espace, et voir si elles restaient viables lors des longues missions spatiales.
David Wilcock : On est tous des fanas de l’espace, mais pour les autres, pouvez-vous expliquer très simplement ce qui arrive aux humains, russes ou américains, lors des missions conventionnelles de type NASA ?
Emery Smith : Bien sûr, le corps, primo vous devez manger, rester en bonne santé, faire de l’exercice tous les jours. On doit le maintenir en mouvement. Comme ici, si vous restez au lit toute la journée et devenez obèse, vous vous préparez votre corps à des risques de crise cardiaque et toutes sortes de problèmes et de maladie. Donc, avec ces choses élémentaires pour maintenir le corps, sain dans l’espace, ça vous maintient en homéostasie. Mais, ce qu’ils veulent faire c’est… "On veut que vous restiez en homéostasie pour de longues périodes."
Ils ne peuvent rester en homéostasie dans l’espace qu’un an au maximum.
Corey Goode : Les os…
Emery Smith : Tout finit par se dégrader. Vous perdez 20% de votre structure osseuse… ça affecte aussi le système nerveux… fortement.
David Wilcock : Vous parlez de… la densité osseuse des os ?
Emery Smith : Oui la densité. Exactement, la densité. Et il y a tous ces facteurs là-bas, en haut. Et c’est un gros problème pour la NASA, primo, la NASA publique. C’est elle qui a obtenu des fonds pour qu’on fasse ce projet pour lequel on était engagés. C’est donc, vous voyez…
D’après mon expérience, il y a deux NASA. Vous pouvez certainement m’éclairer un peu, sur celle séparée de tout le reste. La secrète, et puis il y a la normale. Et puis, il y a bien sûr, l’AIR Force et tout ça.
David Wilcock : Pouvez-vous la décrire ? Car je ne la connaît pas.
Emery Smith : La NASA secrète ?
David Wilcock : Oui la secrète. Que savez-vous ?
Emery Smith : La NASA a deux sections. Une que le public voit. Et il y en a une autre, secrète, de type cabale, qui fait des trucs très médiocres quant à envoyer des trucs dans l’espace pour ces autres endroits classifiés. Sa mission, honnêtement, est plus, un truc plus genre fournisseur, car ils sont l’échelon le plus bas, comparés aux autres dont Corey parle. Mais ils les engagent pour faire des trucs. Et tout est secret. Et ils envoient aussi plein de types différents de satellites là-haut, qui sont classifiés. Bien sûr, maintenant avec la nouvelle avancée d’Elon Musk et de son entreprise, il fait beaucoup ça, envoyer là-haut, ces types de satellites classifiés, qui sont utilisés à des fins négatives dans l’espace, et je ne dis pas qu’ils sont au courant, car ils font juste les fusées. Ces satellites viennent déjà dans une capsule. Ils les envoient juste. Ils sont payés pour le faire car ils ont beaucoup de succès, bien plus que la NASA, en réalité, pour… faire des fusées
David Wilcock : Corey, connaissez-vous cette NASA secrète ?
Corey Goode : Et bien oui, c’est en fait la même section dont je parlais, de ce corps secret d’astronautes qui sont presque tous AIR Force. J’essaie de me souvenir du nom de la base dans le nord-ouest où ils s’entraînent…. Pas le nord-ouest. Près l’un des Grands-Lacs. il y a une base où ils entraînent ces gens, pour faire voler cette technologie de pointe.
David Wilcock : D’accord. On a maintenant la question d’un téléspectateur.
"La super mise à jour de Corey, parle d’une personne portant un badge de la NASA, dans la partie la plus profonde de la LOC (Lunar Operations Command)... Un badge de la NASA ! Quelles sont les implications ? Et la présence de la NASA au LOC, est-elle récente ?"
Corey, c’est plus une question pour vous.
Corey Goode : D’accord. Précédemment, à la LOC Alpha, qui est celle que j’ai le plus décrit, je n’avais jamais vu d’insigne de la NASA. Par contre, au LOC Bravo, qui se trouve sous la surface, avec ce réseau géant de tubes de lave, quand j’y suis allé, avant d’avoir cette visite de 5 heures du reste des complexes qu’on a sur la lune, certains très anciens, j’étais dans une zone plus scientifique où tout le monde s’apprêtait à aller en expédition en mettant leur équipement, et tout ça. Et il y avait du personnel de la NASA, une personne en combinaison orange, avec l’insigne de la NASA. Il y avait une personne debout, à coté, qui avait un coupe-vent bleu avec un insigne de la NASA.
David Wilcock : Quelles en sont les implications ? Et la présence de la NASA là, est-elle récente ?
Corey Goode : Les bases sur la lune sont divisées de manière à ce que les différents programmes spatiaux aient un accès. Le Complexe militaro-industriel y travaille beaucoup. Et, ce qu’on a décrit avant sur la NASA secrète, qui est composée des AIR Force qu’il a décrit, et je le confirme, ce sont les gens que je voyais très probablement au LOC.
Emery Smith : Probablement, oui.
David Wilcock : Donc, que l’un de vous se jette à l’eau. C’est une chose étrange qui semble liée, que de temps en temps, on a ce petit bla-bla dans les médias, et ça dure depuis des années, sur cet X-37B !
Il ressemble à la navette spatiale du même type, comme la partie du véhicule de rentrée. Et ils disent : "Oui, il y est depuis 648 jours, avec des astronautes dedans." Mais ils ne disent pas qui sont les astronautes. C’est une mission secrète. Puis elle atterrit. Parfois, ils parlent d’une autre, et disent qu’elle y est depuis un an, deux ans maximum.
Corey Goode : Elles sont inhabitées.
David Wilcock : Supposément.
Corey Goode : Oui.
Emery Smith : Je ne pense pas qu’elles le soient.
Corey Goode : Oui, ce sont des véhicules téléguidés.
David Wilcock : Je pense avoir vu des articles insinuants qu’elles étaient habitées, qu’il y avait des gens.
Corey Goode : Elle en a la capacité, mais de ce que j’ai vu, la cabine est très petite. En général, elle contient des charges utiles qui peuvent être… On ne l’éjecte pas dans l’espace, elle peut donc être attachée. Et les portes peuvent s’ouvrir. Il peut se positionner pour travailler, avec des bras qui se déploient pour réparer les satellites. Ils peuvent l’adapter à beaucoup de tâches différentes, m’a-t-on dit.
David Wilcock : Je trouve très surprenant que les gens ne posent pas plus de questions, vu qu’on leur dit chaque année qu’une mission spatiale secrète vient d’atterrir après un an.
Emery Smith : Le grand public est-il au courant ?
David Wilcock : Absolument.
Emery Smith : Genre, CNN en parle ?
David Wilcock : X-37B.
Emery Smith : Oui, je sais.
Corey Goode : Juste du décollage et de l’atterrissage…
Emery Smith : OK, d’accord.
David Wilcock : Mais c’est genre : sur quoi travaillent-ils là-haut ? Et pourquoi y rester un an? Qu’est-ce qui conditionne une mission dans l’espace, pour toute une année, s’il n’y a rien ?
Corey Goode : Beaucoup de types d’expériences que les astronautes font, peuvent être automatisées. Ils peuvent donc envoyer des expériences plus avancées.
Emery Smith : Absolument, il y a des navettes maintenant, comme celle-là et même des stations qui sont inhabitées, et des plus petites aussi. Et comme en chirurgie, on a ces gros robots DA VINCI qui font toute la chirurgie, mais les chirurgiens les manipulent de là-bas…
Corey Goode : Ou d’un pays différent.
Emery Smith : Exactement. Donc là, ils peuvent faire des choses très similaires comme réparer des satellites, nettoyer les débris sur l’orbite des satellites, ça coûte très cher. Ça a été fait, des missions pour aller juste changer leur trajectoire. Ils vont perdre un satellite d’un milliard de dollars. Ils vont là-bas et nettoient cette petite région avec une elliptique… tous ces débris spatiaux qui flottent là. J’en ai aussi entendu parler. Mais, si on revient à l’AIR Force et à la NASA aussi, définitivement, ils travaillent tous ensemble. Et, j’appuie ça totalement, à 100%. car ce sont tous des astronautes de l’AIR Force qui font ces missions. Et ils s’entraînent à part.
David Wilcock : Vous avez dit une chose provocatrice : être un de ces astronautes.
Emery Smith : Je devais monter dans une de ces navettes, oui. Heureusement, je n’y suis pas monté, car elle a explosé au-dessus du Texas, lors du vol de retour. C’était en…
David Wilcock : ho, une navette spatiale normale ?
Emery Smith : Oui la navette normale.
David Wilcock : Comme astronaute conventionnel ?
Emery Smith : Pour celle-là, oui.
Corey Goode : Quand j’étais dans la garde spéciale, du Texas, mon unité a aidé à nettoyer les débris.
Emery Smith : Ouais. Et ça a définitivement été un coup pour tous ces gens. Ce n’était pas une simple explosion. Ce sont des cibles… Et je sais…
Corey Goode : Ont-ils vu un truc qu’ils ne devaient pas ? Pourquoi cibler ce type de navette? Ont-ils vu quelque chose ?
Emery Smith : Oui, ces gens là… je n’ai pas l’historique, mais ils avaient tous sur ce qui… ou la majorité avait quelque chose dont ils devaient s’assurer qu’ils n’en parleraient jamais. Je devais prendre ce vol, mais mon vol a été suspendu à cause du budget du président de l’époque. Ils ont suspendu mon vol pendant deux ans. Après l’explosion, ils ont tout annulé. Je n’ai pu y aller. J’étais très déçu. Mais j’ai continué à travailler avec l’autre NASA, entre autres choses.
David Wilcock : Pensez-vous que certains astronautes de la navette conventionnelle qu’on a vue, connaissaient aussi des choses classifiées également ?
Emery Smith : Ça se pourrait. La plupart des astronautes, surtout ceux allant dans l’espace, signent une clause de confidentialité stricte….
Corey Goode : Et beaucoup sont des francs-maçons..
Emery Smith : Avec une balle… avec leurs noms dessus, s’ils parlaient. J’ai rencontré beaucoup d’anciens astronautes avant qu’il ne décèdent, et leur famille. Et ils ont tous dit que c’est vrai. La lune est habitée, il y a beaucoup de véhicules. Il y a des extraterrestres. Ce sont des informations publiques qui sont en ligne. Rien de nouveau. Les gens le savent, mais ne le questionnent pas. C’est un peu le grand scoop mondial, que les extraterrestres existent. Et personne ne veut réellement en parler.
David Wilcock : Corey a mis sur la table des informations corroborant une chose que j’ai entendue d’un autre initié : c’est l’idée qu’un certain niveau du Programme Spatial Secret ne croit pas à l’existence des extraterrestres, et qu’on peut sortir du système solaire. Corey, pouvez-vous expliquer ça ? Puis on verra la réponse d’Emery.
Corey Goode : La plupart croient que les extraterrestres existent, mais pensent que les seuls aliens qui nous ont visités, l’ont fait il y a longtemps. Et de temps en temps, un intrus peut entrer dans notre système solaire, mais à part ça, il n’y a pas de trafic extraterrestre important, ce qui est incroyable, car ils sont à l’endroit parfait pour repérer ce trafic extraterrestre.
Emery Smith : Je ne vois pas comment ils ne voient rien.
Corey Goode : Moi, et beaucoup voient des navettes du Programme Spatial Secret de la Navy qui sont bien plus avancées. Et les pilotes : "On a vu quoi là ?"… Et ils ont l’ordre de ne pas en parler. C’était juste un projet de navette. Vous ferez voler ça dans cinq ou dix ans.
Emery Smith : OK donc ils les endoctrinent…
Corey Goode : Exact. Et aussi la façon de positionner… où les satellites sont placés en orbite. Ils savent où, tout se trouve, tout le temps. Même avant que les astronomes configurent un satellite, ils savent ce qu’il y a dans cette région, et ce qui pourrait être découvert. Et puis, ils changent leur position.
Emery Smith : Je vois.
Corey Goode : C’est comme un tour de passe-passe, là en haut. Mais on peut avoir un station spatiales ici, et faire une orbite de type équatorial, mais des trucs dingues qui se passent en Antarctique et qu’ils ne verront pas vraiment. Ils peuvent, en fonction de l’orbite… il peut y avoir de l’activité.
Emery Smith : Et qui… pourquoi cette organisation ne parle-t-elle pas aux astronautes des aliens ? Et pourquoi ne… Vous voyez… Quel est le bénéfice ? A quoi ça sert pour…
Corey Goode : Ils compartimentent les idées. Donc si ces gens parlent et relèvent cette technologie ou une partie de celle-ci, ils peuvent dire qu’elle est d’origine humaine.
Emery Smith : C’est logique. Ils ont fait ça beaucoup avec nous dire que ceci est ceci, et cela, cela, même si c’était faux. On devait juste se taire.
Corey Goode : D’accord.
Emery Smith : Mais c’est une tactique normale. Et les programmes spatiaux sont durs. Et ils prennent de l’ampleur, il y a plein de ces navettes là-haut, avec des humains à bord. Et, les cacher, les extraterrestres là-haut, ce serait très compliqué. Mais ça peut se faire.
Corey Goode : Une chose intéressante : le programme de ce Complexe militaro-industriel a été un instrument important pour la cabale, pendant longtemps. Mais maintenant, ça leur a été arraché, vu qu’on… Les types du DoD sont revenus plus dans la direction de l’Alliance. Il y a plus une représentation de l’Alliance dans ce programme, même s’il y a… il est un peu divisé. Récemment, ils ont interagi… sont intervenus dans un événement qui s’est tenu ici sur la planète.
Emery Smith : Ha, juste, vous m’en avez parlé !
Corey Goode : Oui, la plupart des gens ne savent pas que la CIA a une flotte secrète, qu’ils appellent curieusement la Flotte Noire. Elle se compose d’un sous-marin nucléaire, d’un porte-avion nucléaire, de navires-prisons, de navires-hôpitaux, de destroyers, toute une flotte. C’est une flotte solitaire. Récemment, on m’a dit lors d’un briefing, on a pas entièrement confirmé tous les détails, mais c’étaient des généraux et colonels à la retraite, qui supposaient que le sous-marin était allé dans une zone peu profonde près de la Corée du Nord et avait tiré un ICBM sur Honolulu. Et, on se souvient tous de… C’était partout…
Emery Smith : Ho Oui !
Corey Goode : Cette fausse alerte pour un missile. Mais si on cherche plus loin, des OVNIs ont été vus près d’Hawaï, à cette même période. Une couronne bizarre dans le ciel.
Une explosion a aussi été rapportée dans le ciel, peut-être une météorite.
Emery Smith : Je m’en souviens. Partout, même en Russie, ils l’ont vu. Donc, on m’a dit qu’ils pensaient que ce sous-marin solitaire avait tiré le missile. Le Programme Spatial Secret du MIC est intervenu, et l’a dévié. Et c’était l’explosion qu’ils ont entendu au-dessus de l’océan.
David Wilcock : Ca signifie que le groupe du MIC est en guerre avec le groupe qui contrôle la CIA.
Corey Goode : Oui, mais des factions du groupe du MIC luttent les unes avec les autres aussi.
Emery Smith : C’est une bonne nouvelle de savoir que le MIC a fait ça. Sinon, les extraterrestres l’auraient sûrement fait, car ils ne laisseront aucun type de bombe nucléaire exploser si elle détruit plus de la moitié de la planète.
Corey Goode : Ça entraîne aussi une rétroaction énergétique à travers ce réseau cosmique et affecte plein d’autres civilisations. Surtout s’ils sont en transit dans le réseau cosmique, on peut détruire des navires ou toute une flotte, si une bombe nucléaire explose au mauvais moment. Ils passent par des régions et connaissent l’activité de tous les soleils, des étoiles de la région, grâce à leurs pulsations.
Emery Smith : Les flashs…
Corey Goode : Et la rétroaction.
Emery Smith : Ça affecte tout le monde. C’est bien que vous en parliez. Peu de gens comprennent ce concept, et comment il affecte… Tout ce qu’on fait ici, affecte une autre part de l’univers, de nombreuses parts. Je suis content qu’on en parle.
Corey Goode : Quelques jours plus tard, le même sous-marin a tenté de tirer un autre missile sur Tokyo, qui a été à nouveau détruit, par le même programme.
David Wilcock : Et le sous-marin ?
Corey Goode : J’ai entendu… Je n’ai pas beaucoup de détails, s’ils ont éliminé le sous-marin. Je n’ai pas de détails…
David Wilcock : Je suppose que oui.
Emery Smith : Sûrement, oui.
Corey Goode : J’attend le briefing complet pour voir l’exactitude de ces détails, car ils venaient de gens qui avaient des infos privilégiées, mais pas tout le tableau.
David Wilcock : Corey, pourquoi pensez-vous que la cabale tireraient des missiles sur Honolulu et sur Tokyo ?
Corey Goode : Les false flags… Maintenant on doit les surveiller. Car le groupe de la Cabale, ce groupe mondial, composé de gens de toutes les religions, de tous les bords politiques… tout le monde quoi… Il y a un petit morceau de chaque groupe impliqué dedans… qui est exposé finalement. Ils ont besoin d’une grande distraction. Il semblerait qu’ils penchaient pour une IIIe guerre mondiale, pour avoir une distraction au lieu de montrer les choses cachées là en dessous, en Antarctique et sous l’océan.
Emery Smith : Il me semble aussi… je pense que ça pourrait être un test du temps de réponse pour… on le fait beaucoup, tirer des missiles pour voir la vitesse… ils savent qu’ils seront éliminés. Ils veulent connaître leur temps de réponse, pour se positionner stratégiquement à différents endroits et peut-être aussi des espaces habités, avec quelque chose pour contrer la menace…
Corey Goode : Des essais.
Emery Smith : Oui, ça pourrait aussi être quelque chose comme ça, qu’ils font des tests.
Corey Goode : C’est toujours un élément.
David Wilcock : Emery, j’aimerais revenir une minute sur une chose que vous avez dite : vous avez mentionné que la NASA secrète utilise des vaisseaux triangles. Et qu’ils ont des bases en dehors de la Terre, ou sur l’orbite de la Terre. Pourriez-vous nous donner plus de détails ?
Emery Smith : Ils en ont un tas de MacDill AIR Force Base à Tempa en Floride.
Corey Goode : Ho oui. Et d’ailleurs le Dr Salla de exopolitic.org a récemment écrit plusieurs articles. Avant que le dernier ouragan ne touche la Floride, les gens les ont photographiés, évacuant ces navettes de MacDill. Et il y a deux ou trois types différents de triangles, qui sont stationnés là. Toute une escadrille est stationnée à MacDill.
Emery Smith : Absolument, on a fait beaucoup de CE-5, environ une heure au sud… une demi-heure au sud de là. Et ils ne se cachent pas. Ces pilotes volent au dessus du Golfe du Mexique et y font d’incroyables acrobaties, juste pour le fun. Ils ne se cachent pas quoi. On a des films, des photos et tout ça, 30 à 50 témoins, pendant un CE-5 sur la plage là-bas. C’est un sacré spectacle. Mais on peut le sentir aussi, que ce n’est pas extraterrestre. Il y a toujours cette énergie de ces reproductions de véhicules aliens. Les ARV, comme on dit.
Corey Goode : Oui, 90% de ce qu’on voit est d’origine humaine.
Emery Smith : Exactement, 90%, grand nombre… C’est vrai.
David Wilcock : Vous parliez de la NASA secrète, des triangles, MasDill. C’est incroyable que vous connaissiez tous deux cette base. Pourriez-vous nous parler des plateformes orbitales, par exemple ?
Emery Smith : Il y a des stations spatiales comme dit Corey. Elles sont bien plus grandes que ce que vous savez de la Station Spatiale Internationale. Elles sont très perfectionnées. Elles mesurent entre… D’après les photos que j’ai vues, mais je n’y suis jamais allé, au fait, elles sont environ 10 fois plus grandes que la SSI (Station Spatiale Internationnale). Et elles ne sont pas ici, dans notre atmosphère, comme nos satellites et tout. Elles sont bien plus loin que l’exo-atmosphère au delà de la Terre, mais toujours dans… et elles peuvent être sur une orbite elliptique. ou elles peuvent être à l’arrêt quelque part. Et il s’y passe plein de choses, comme des tests pour les autres planètes qu’on cherche. Parfois…
David Wilcock : Des planètes de type Terre ?
Emery Smith : Oui, comme la Terre. Ils ont des radars spéciaux qui peuvent voir dans les planètes. Et ils ont des choses qui pourraient en fait… ils savent où sont toutes les navettes dans le système solaire. Et ils cartographient tous les différents trous de vers et ces autres plateformes pour naviguer dans l’espace. Ils savent où les portails sont, quelles planètes en ont. Ils ont fait des études avec des équipements de pointe là-bas. Ils voient à travers les nuages de toutes les planètes gazeuses pour voir qu’il y a là-bas. Ils envoient beaucoup de sondes à ces endroits pour voir si elles reviennent, pour qu’ils récupèrent les données.
Corey Goode : Vous avez vu une image ou une photo ?
Emery Smith : oui.
Corey Goode : Ok, j’en ai décrit une dans le passé. C’était une station spatiale faite de coques de navettes de la NASA, ou des propulseurs, qu’ils ont réutilisés, qui ont été éjectés des fusées lancées dans l’espace. Ils les mettent bout à bout – en un grand cercle.
Emery Smith : D’accord.
Corey Goode : Comme un rayon, partant du centre… Et ça tournait lentement pour créer un tiers de gravité.
Emery Smith : Voila, c’est celle là. Je vous en ai parlé il y a un temps…
Corey Goode : Juste !
Emery Smith : Donc l’entendre dire ça, c’est… instructif.
Corey Goode : Les images que j’ai vues étaient… le rayon au milieu avait une partie qui descendait. Et tout le reste tournait, mais le milieu était bien positionné et ne bougeait pas. Et c’est là que le TR-3Bs se connectait, à un port là au dessus. Et ils passaient par là. Ils sortaient par les rayons et passaient par des parties de la station faite de ces pièces…
Emery Smith : Oui voilà. récupérées. Même la NASA recycle.
Corey Goode : Oui.
Emery Smith : C’est pas beau ?
David Wilcock : Et c’est donc un programme de l’AIR Force ?
Emery Smith : Oui, de l’AIR Force.
Corey Goode : La DIA.
Emery Smith : Oui. Donc c’est connu des gens qui sont dans ces projets. Ils ne le cachent pas.
Corey Goode : C’est connu dans le projet, les projets.
David Wilcock : Visiblement, les programmes où vous participiez, vous connaissiez l’existence d’aliens, sur et autour de la Terre ?
Emery Smith : Oui.
David Wilcock : Est-il possible qu’ils aient des employés sur ces plateformes spatiales qui ne savaient pas pour les extraterrestres ou pensaient qu’ils étaient anciens, par exemple ?
Emery Smith : Non, je ne vois pas comment c’est possible. Non. Je ne vois pas un astronaute sur cette station être convaincu qu’il n’y a pas d’autre vie, car c’est une zone tellement fréquentée. Dans l’espace, c’est comme la Gare du Nord… c’est un endroit vraiment animé. Vous devriez ne pas avoir de fenêtres et ne pas regarder du tout, pour ne pas voir des anomalies ou vraiment voir une navette extraterrestre qui vous examine. Il y a beaucoup d’armes dans l’espace pour lutter contre ça, y compris des ondes spéciales, qui ne permettent pas aux navettes de s’approcher et qui désintègrent ce type de navettes. Ils ont aussi ces détecteurs de lumière de neutrinos sur les satellites là-bas, ce qui montre le voyage de ces engins, avec différentes longueurs d’onde, pour qu’ils les repèrent et voient qui ils étaient.
Corey Goode : Ça et le fait… la façon dont le LOC repère des navettes entrant, est que chaque type d’appareil à énergie libre émet une certaine fréquence.
Emery Smith : Exact.
Corey Goode : Qu’on ne peut pas cacher. Ou la masquer. C’est pourquoi tant de ces travailleurs de l’énergie libre, ils sont au milieu de la jungle, sous terre. Dès le moment où ils allument, des hélicoptères arrivent.
Emery Smith : Je peux en attester.
Corey Goode : J’en suis sûr.
Emery Smith : Vous le savez très bien. Et je peux dire la vérité.
Corey Goode : Mais c’est une des méthodes principales qu’ils utilisent pour repérer amis et ennemis qui rentrent.
Emery Smith : On ne peut pas cacher cette énergie… C’est compliqué.
David Wilcock : Vous travailliez sur un appareil, et peu après, il marchait parfaitement, et là, vous avez votre accident de voiture.
Emery Smith : Oui, en Floride. On a pris un appareil à un Walmart. Des scientifiques et quelques personnes intéressées, des VIP, voulaient s’assurer qu’il marchait. Avec le fourgon loué, on s’est arrêté au Walmart après la fermeture. Quand ils ont éteint toutes les lumières, on l’a placé au sol. Tout le monde a éteint son portable et l’a mis autour de l’appareil. Et on l’a allumé. Tous les portables se sont allumés. Et toutes les lumières du parking. Mais bye bye, ça a duré moins de 45 secondes. De retour dans le fourgon, et on partait. Et le parking du Walmart a été très animé les 24 heures suivantes. Pas pour du shopping.
David Wilcock : Emery, pensez-vous selon vos contacts avec les gens de ce programme, voulaient-ils… tous ces secrets ? Ou voulaient-ils que la vérité soit connue du public ?
Emery Smith : C’est le truc. Les gens veulent la vérité quand ils sont sur des projets. Ils ne se sentent pas en sécurité. Des choses se passent. Les choses changent. Ils ne vont rien faire. Ils ne deviendront pas des lanceurs d’alertes. Les retraités veulent témoigner, mais les gens sur ces projets ont besoin d’un job. Ils ont tous un peu peur. Et ils le font exprès… Ils vous donnent un petit facteur peur sur ces projets pour s’assurer que vous ne disiez rien. Mais leur cœur est juste là où il faut. Si le cœur est plein de bonnes intentions, le bien triomphera. Même si on fait une chose qu’on ne veut pas faire, il y a une raison à votre présence. Ce que je dis à ces gens : soyez patients et continuez à penser comme ça, car tout bientôt, vous serez libres. Vous serez sur un projet très similaire, faisant le même boulot, mais vous n’aurez pas ces yeux et tous ces gens sur votre dos, tout le temps.
David Wilcock : C’est vraiment incroyable. Et, Emery, c’est génial de vous avoir ici. Merci de risquer votre vie pour en faire partie.
Emery Smith : De rien, merci à vous Dave.
David Wilcock : C’était Divulgation Cosmique. Merci de nous avoir suivis
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