Titre : Les Pétroglyphes Russes sous l’influence de Sirius ?
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Les Pétroglyphes Russes sous l’influence de Sirius ?
Les Pétroglyphes du Lac Shira en Russie sont-ils la preuve de l’influence sur l’Humanité d’Extra-Terrestres du système solaire de Sirius ?
Cet article est la traduction par Neotrouve.com, en Français d’un article du site russe rubikonriver.narod.ru/ et les opinions mentionnés dans l’article sont uniquement celles de l’auteur de l’article (Sergueï Rostovtsev) et laissées à l’appréciation de chacun.
Le lac Shira est une étendue d’eau plus remarquable et inhabituelle située sur le territoire de la Khakassie du Nord.
Le lac est situé dans une dépression intermontagneuse peu profonde dans la dépression Minusinsk Nord 340 km au sud-ouest de Krasnoïarsk.
La superficie du lac est de 35 km². La longueur du lac du nord-ouest au sud-est est de 9,5 km, la plus grande largeur est de 5,3 km, la profondeur maximale est de 24 m.
Le lac Shira est entouré de forêts et de steppes dans une configuration de montagnes peu élevées.
Le fond du lac s’élève progressivement formant une rive plate, recouverte d’une couche de sable et formant des plages confortables.
Une combinaison rare de climat sec des steppes et de l’air du lac crée un climat curatif unique.
Shira est un lac légèrement salin !
La composition de l’eau du lac est légèrement alcaline formée de chlorure de sulfate, de sodium-potassium, avec une teneur accrue en magnésium.
En raison de sa riche composition minérale, le lac Shira est devenu un endroit célèbre pour le repos et le traitement de cure dans le territoire de Krasnoïarsk.
Shira est une étendue d’eau retenue fermée avec seulement du côté sud-est de celui-ci une évacuation qui donne une petite rivière appelée Son.
Il est étonnant de constater que, dans ces conditions, le lac conserve ses propriétés curatives sans favoriser le développement de pathogènes, sachant que la station accueille plusieurs milliers de vacanciers.
Voilà pour les généralités !
Maintenant, je vais vous raconter une autre histoire, je rassemblerai des œuvres de bien connu dans les cercles étroits du scientifique Krasnoyarsk Gennady Kovalenko, qui a écrit de nombreux articles inédits et peu connues sur la Toile concernant l’histoire ancienne du lac Shira.
Avant-propos :
Le destin a voulu que il y a quelques années (en 2012) je reçu l’archive des travaux de Gennady Dmitrievich Kovalenko.
Après avoir lu ces documents, je les ai trouvés très intéressants.
Sur internet, il y a quelques temps sur le Net était connu son seul article "Paleovizit Khakassie", parlait de l’hypothèse de l’implication extraterrestre dans la formation de l’ancien peuple de ce territoire, ainsi que les conclusions des trouvailles de l’expédition Kovalenko sur le lac Shira et de décryptage de stèles et les menhirs dans ces lieux.
Après avoir analysé le matériel, j’ai fait les extraits les plus importants de ses travaux, que je vais maintenant exposer dans cet article.
Traces paléocosmiques !
Le point de départ dans la formation de l’hypothèse de Kovalenko sur l’expansion de l’intelligence extraterrestre du territoire de la Khakassie du Nord était la recherche de la solution des causes du phénomène Tunguska.À cet égard, dans les années 90, il a formulé l’hypothèse d’une piste paléocosmique.
– Dans le cadre de l’étude des causes de l’explosion Tunguska apparu hypothèse de l’existence d’un tel agencement des objets cosmiques du système solaire, une hypothèse selon laquelle ces corps célestes joueraient le rôle de retransmetteurs de flux d’énergie entre l’espace proche et lointain.
Dans ce cas, un canal de communication est formé, le long duquel il serait possible d’orienter l’engin spatial.
Le canal de communication spécifié se produit lorsque le Soleil et Jupiter considérés comme deux “étoiles” dans notre système, occupent une position spéciale et formerait l’alignement de la "Porte des Étoile", distinguable au sein de l’espace lointain.
Le “canal de diffusion” proposé se situe entre les constellations de la Grande Ourse et des Grands Chiens. Dans notre galaxie, il passe Neptune, Jupiter, Mars avec se satellite Phobos, Vénus, le Soleil, la Lune et arrive à la Terre. Sur ce chemin seraient arrivés sur Terre les représentants (extra-terrestre ndt) venant Sirius (la constellation du Grand Chien) en utilisant des capacité énergétique et temporelle spécifique de ce canal les “objets clés” qui se dressaient sur son chemin sur la Terre, acquerraient autormatiquent de propriétés spéciales paranormales et énergétique, et devenaient des centres d’évolution de l’esprit humain.
D’après les calculs, Gennady Kovalenko en Sibérie ces objets clés situés de manière visible sur la surface de la Terre sont les poteaux de Krasnoyarskiye (ndt : pics rocheux caractéristiques célèbres en Russie aussi appelé “Stolby”) et les lacs du groupe Khakassie du Nord : Belyo, Itkul et Shire.
En continuant cette ligne dans le sud-ouest, nous pouvons tomber sur eux, et d’autres domaines notables où sont clairement marqué par l’influence de la “civilisation de Sirius” : Les pyramides de Gizeh, Nazca, de l’Afrique de l’Ouest (il y réside un petit groupe ethnique Dogon qui considèrent Sirius sa maison ancestrale).
J’ai déjà écrit sur les propriétés anormales et l’énergie des piliers de Krasnoïarsk dans la section correspondante.
J’ai consacré 9 ans à la recherche de ce complexe.
Mais les secrets du lac Shira dans une plus grande mesure révélé à un groupe restreint de ceux intéressés précisément Gennady Kovalenko, mais sa théorie n’a pas reçu une large résonance.
Le point de départ pour le début de la recherche est devenu étrangement …. les lignes du Coran :
Sourate 53:49
49. Et c’est Lui qui est le Seigneur de Sirius (ndt originalement Al Shira al Al ymaniya l’étoile la plus lumineuse de la constellation du Grand Chien)50. et c’est Lui qui a fait périr les anciens ˒
Ici nous avons en tête l’étoile la plus brillante de la constellation du Grand Chien et l’étoile la plus brillante du ciel (Sirius).
D’où il suit que Shira et Sirius sont équivalents dans le sens, et le nom de cet endroit (ndt Lac Shira) est beaucoup plus ancien que les scientifiques supposent.
Maintenant, quand il s’est avéré d’où les rumeurs proviennent, il était envisageable de s’atteler à la tâcge consistant à trouver des traces de la présence de la civilisation de Sirius dans le territoire de la Khakassie du Nord.
Expédition de l’année 2007 !
Pour tester leur version, un groupe d’enthousiastes dirigé par Gennady Kovalenko est venu à l’étude du lac Shira.Une étude de la côte sud-ouest a montré que le littoral est bordé de dalles rectangulaires.
Le but de ces plaques n’est pas connu et est encore selon les géologues considéré comme des formes naturelles inhabituelles.
Sur le côté Est du site, quinze dalles ont été trouvées avec des extrémités coupées.
Les chercheurs étaient sûrs qu’aucun phénomène naturel ne pouvait reproduire les rectangles correctement par son influence et les multiplier de façon aussi dense le long de la rive du lac.
Ensuite, il a été suggéré que c’était peut-être une protection artificielle de la rive contre l’inondation.
Apparemment, quelqu’un était intéressé de préserver le littoral à certaines fins.
Par exemple, il aurait pu s’agir d’un chemin menant au fond du lac Shira en son centre.
Une autre observation intéressante a également été faite.
La cote ouest semble avoir été faite comme par une technologie de poterie.
Je dis pourquoi avec tant de confiance, parce que maintenant ces plaques sont altérées et mélangées.
Il n’y a pas de couche uniforme, comme c’est le cas dans les roches sédimentaires naturelles, où il y a une couche écailleuse. Kovalenko
Avec l’aide de avions ULM ont été faite inspection du territoire près du lac afin de trouver même des preuves remarquables de construction ancienne.
Au sud-ouest du lac, on a trouvé une grappe de stèles en pierre, où était située une dalle plate d’une couche de boue centenaire.
Lorsqu’on a sortit la plaquela plaque était un hexagone irrégulier.
L’inspection de la dalle à partir du sol a permis de trouver une variété de symboles sur la pierre.
Après avoir nettoyé et lavé la saleté, une image impressionnante est apparue aux chercheurs: la plaque était entièrement couverte de soi-disant signes solaires.
Les signes solaires sont les désignations symboliques des étoiles et des objets cosmiques qui sont d’une grande importance dans la religion des anciens habitants ce territoire.
Cependant, cet art est fondamentalement différent des gravures rupestres habituelles de l’âge de pierre.
– Au Paléolithique selon l’opinion admise, il n’était pas question de réponses sérieuses sur l’univers, l’histoire de l’ art rupestre et la notion de rituel et le sens quotidien était assez pragmatique correspondant au développement de l’homme de l’âge de pierre. Et dans ce cas , l’espace est liée à l’interprétation des résultats des observations directes des étoiles et des planètes les plus proches de l’ espace circumterrestre. Cependant, il y a beaucoup de faits qui ne rentrent pas dans le cadre traditionnel du niveau intellectuel du peuple paléolithique. Les mythes et les légendes qui ont survécu jusqu’à nos jours contiennent ces informations qui sont disponibles pour les personnes qui scrutent la surface de la Terre. Vous pouvez mentionner à l’exception du Dogon, des dessins sur le plateau de Nazca, et bien d’autres zones encore, où l’on parle de mondes inconnus et de dispositifs techniques. (Kovalenko)
Des signes ont été faits à la surface d’un affleurement rocheux fait de grès par une méthode classée par les archéologues (“officiels” ndt) comme une gravure par “poinçonnage” (ndt : mise en relief par technique du marteau et burin) .
Cependant, d’autres chercheurs ont eut le sentiment que les marques étaient appliquées par une sorte de ponçage.
La surface totale remplie avec ces pétroglyphes est d’au moins douze mètres carrés.
Le côté nord de la dalle est dirigé vers le lac Shira.
La partie sud de la plaque s’élève au-dessus du champ avec des stèles, situées le long d’une zone creuse, s’étendant d’est en ouest .
En raison de l’impact mécanique au cours des nombreuses années, à la surface de la roches pour des fins diverses (ndt dégradations d’origine humaine), certains des dessins sont irrémédiablement perdus.
La partie restante est représentée par quatre fragments, reliés par l’unité des parcelles supposées.
La partie nord de la plaque est fortement ébréchée et on n’y trouve que des traces de croûtes de surface.
Mais du côté sud, trois fragments sont conservés: sud-est, sud-ouest et central.
Le fragment sud-est (figure 3) contient plusieurs signes distincts.
Mais le signe principal de cette partie, selon Kovalenko, a été détruit, et à sa place il reste trou rond sculpté plus tard.
Il a été suggéré que la destruction de ce signe était effectuée par un système qui ne voulait pas laisser de trace derrière lui.
Au-dessous il y a trois croix en Tau et des figures de petits hommes.
En outre dans le sens des aiguilles d’une montre on peut voir les signes suivants: un cercle avec un point au centre d’une fontaine et dirigée vers le caractère suivant sous la forme de deux cercles concentriques, avec des éclairs auroue cercle, appelée par les chercheurs la planète Absynthe.
Un peu plus haut il y a un symbole sous la forme de deux cercles concentriques, à droite de celui-ci un signe en forme de fer à cheval, ci-dessous est un signe de deux cercles concentriques avec un point au centre.
Ce sont les images les plus reconnues, le reste des éléments en relief sont mélangés avec le fond de la surface.
Le fragment du sud-ouest (figure 4) comme le principal contient un signe de quatre cercles concentriques avec un point dans le centre.
Autour de lui sont placés au moins 14 signes clairement identifiables. Parmi eux, les symboles du fragment sud-est sont répétés.
Cercles concentriques avec un point au centre; cercle avec un point; croix complète avec des cercles aux extrémités; le signe en forme de fer à cheval ; deux cercles concentriques recouverts d’un fer à cheval et un signe incomplet de plusieurs cercles concentriques.
En descendant du fragment en question, apparemment, il y avait beaucoup de signes solaires, l’un survécut dans la partie nord de la plaque.
Le fragment central (figure 5), contient de nombreuses images détruites : un dessin carré clairement mis en évidence divisé orthogonalement transversalement du côté sud de la place montre un signe de deux cercles concentriques dans le secteur sud-ouest du carré – un cercle avec un point au centre du côté ouest de la moitié nord de la place montre un signe en forme de fer à cheval qui était souligné par une sorte de parenthèse.
La plaque de Shirinskaya ontient un élément très important – la planète “Wormwood” (Nibiru), qui a joué, apparemment, un rôle important dans les événements ultérieurs sur Terre.
Et pour fixer le plan de développement de l’époque, des symboles sont placés sur la dalle, montrant le protocole à tenir dans le cas des dangers cosmiques.
Ceci avant que les chercheurs en 2007 s’y soient intéressés, la plaque de Shirinskaya était complètement couverte, de ce qui serait d’éventuels “enregistrements cryptés extraterrestres” – un message pour les initiés.
Mais leurs auteurs n’ont pas laissé les clés de chiffrement et c’est ainsi que les chercheurs suivants ont dû construire leurs hypothèses à partir de leurs connaissances.
Et puis deux ans plus tard, Gennady Kovalenko a présenté aux experts le sens éventuel de l’image:
Concernant mon interprétation sur cette plaque il y a au moins deux messages faits par diverses technologies – fresque ou gravure.
Apparemment, la gravure est plus tardive, parce que les fragments les plus anciens sont en dessous.
Les premières images montrent deux mondes, situés diamétralement par rapport à l’image et formés d’au moins six cercles, à ma connaissance – c’est la Grande Ourse, comme un symbole de la galaxie Makosh.
Le monde du fragment sud-ouest est le système Sirius.
Comme il a été montré ci-dessus, il y a environ deux millénaires, le système stellaire Sirius se composait de quatre étoiles, qui sont visualisées dans l’image.
Le système diamétralement opposé est solaire, ce qui peut résulter de la présence de deux planètes comme Mars et la Lune.
Mais le point de référence le plus important est uen surface carré qui a été sculptée plus tard que l’image de la Terre, et qui se trouvait à l’intérieur (de ce carré ndt).
Tout cela indique le monde de la Terre, entouré par la Lune et Mars. Le cercle avec les défauts, la planète que j’ai nommée – Wormwood, représentait une grande menace à l’époque, associée à la mort des gens et à la destruction mondiale.
Ceci est également montré sur un certain nombre de stèles dans divers endroits de Khakassie.
En combinant toutes les pièces en un seul système d’événement cela peut être vu comme une civilisatiion stellaire de Makosh (notre galaxie), qui serait placée sur les “quatre luminaires” (Sirius) (ndt ?).
Conscient du danger imminent – l’explosion d’une des étoiles, les habitants de Sirius ont effectué une expédition de plusieurs vaisseau interplanétaires à la périphérie de la galaxie, où il y avait un système “raisonnable” (Mars, la Lune) (ndt avec une coinscience planétaire).
Sur le chemin du système solaire, l’expédition a perdu des vaisseaux-planètes, en passant dans le nuage d’astéroïde de la planète Absynthe situé à ce moment à une distance significative et a atterri accidentellement, causant de lourdes pertes.
Sur Terre, ils devaient combattre les lunatiens, qui considéraient apparemment la Terre comme leur colonie. Après cela, l’expédition s’est installée à l’endroit où la plaque a été placée en mémoire de l’arrivée.
Ceci est un premier enregistrement.
L’enregistrement tardif montre que les corps des personnes après leur mort sont enterrés dans une crypte souterraine, dont l’entrée est située à l’est, et le système Sirius a cessé d’exister (symbole en croix près de Sirius sur la plaque ndt).
Un monticule antique !
Ici, bien sûr, Kovalenkoa créé une intrigue en faisant allusion au fait que le corps des descendants Siriens enterré dans ce monticule (crypte souterraine) et il serait bon de commencer ses études à grande échelle pour confirmer son hypothèse.Ironiquement, en 2007, lorsque je ne connaissais pas encore les œuvres de Kovalenko, j’ai trouvé ce tertre.
A côté de Shira, il n’y a rien qui y ressemble (qui ressemble à ce tertre, il est unique ndt).
Sa différence par rapport aux sépultures de Salbik de la Vallée des Rois est que ces lieux de sépulture ne sont pas limités aux cromlechs, mais à des menhirs séparés. La hauteur de certains d’entre eux a atteint trois mètres.
Il n’y a pas beaucoup de menhir ressemblant à ceux ci même dans le Creux Minusinsk (la où il y a les menhirs très haut ndt) vous ne trouverez pas beaucoup, mais il y en a.
Sur l’une des pierres, j’ai été surpris de voir les signes solaires : un cercle avec une croix, un signe astrologique de Mars et d’autres symboles que je ne connais pas.
La science académique a réagi à l’hypothèse de l’enterrement extraterrestre de façon plutôt désinvolte, donc les fouilles n’ont pas été commencées.
Peut-être aussi par le fait que presque tous les vestiges intéressant du point de vue géologique ont été pillés, et ont émis l’hypthèse qu’une telle civilisation puissante aurait du logiquement créer quelque chose de plus puissant et de plus technologiques (que ça ndt)
Dans la même région, les chercheurs ont trouvé de nombreuses stèles brûlées. Il y avait des sortes d’entonnoirs (ndt photo ci dessous) et ils avaient une odeur caractéristique de pierre brûlée et c’est comme ça qu ils ont été découverts.
Les chercheurs ont alors suggéré que c’était des traces des armes extraterrestres à base de radiation.
Expédition de l’année 2012 !
Gennady Kovalenko a au moins une fois organisé une expédition de recherche au lac Shira. C’est arrivé au cours de l’été 2012. Cette fois, il a décidé d’examiner le fond avec un groupe de passionnés. Là, à une profondeur de 5 à 10 mètres, les chercheurs ont pu capturer des fragments de dalles de pierres géantes.
La version qui a déjà été formulée il y a longtemps est maintenant complétée par de nouvelles pistes de recherche.
Selon Kovalenko, la base de Sirius était spécialisée dans la production de vaisseaux spatiaux et d’armes nucléaires, le matériel de base pour les bombes dans la partie nord de la Khakassie est suffisant. Cette base a été détruite par une frappe directionnelle, peut-être nucléaire. Les mines se sont effondrées, formant un grand entonnoir, qui a finalement été rempli d’eau.
Il serait possible d’abandonner le fantasme de ce professeur excentrique, mais il y a plusieurs faits qui mènent à la conclusion que les suppositions de Kovalenko ont un soupçon de vérité.
Premièrement, le lac Shira est souvent mentionné dans les plus anciennes légendes Khakassiennes. Cela a été souligné au milieu du 18ème siècle par le célèbre géographe Peter Pallas. Shira est l’un des plus anciens lac du sud de la Sibérie.
Deuxièmement, dans la légende slave “Un mot sur le régiment d’Igor” (Un poème russe très connu ndt) un point intéressant est décrit, qui parle de l’existence des Slaves dans le miracle d’une arme semblable a celle décrite sur ces inscriptions.
Traduction : vous pouvez tirer en direct sur le sec avec Sherryshire (allusion à Shira)
Dans différentes traductions, ces armes sont transformées en flèches, lances, lance-pierres ou quoi de plus correspond aux qualités de cette arme “armes à feu”. Après avoir analysé ce que pouvait Sherryshire on obtient une «fusée incendiaire d’un large éventail de dommages».
Troisièmement, l’étymologie de Shi-Ra de la même langue pro-slave est traduite par ‘détruit par le soleil” ce qui y fait aussi penser.
Eh bien, personnellement, pour moi, ce qui a entraîné les qualités de guérison de l’eau et des dépôts de limon est également mystérieux. Peut-être est-ce la conséquence de petites doses de rayonnement, qui, comme on le sait dans certaines quantités, a un effet bénéfique sur le corps humain, semblable aux bains de radon et de soleil. Certains scientifiques suggèrent apparemment pour les mêmes raisons l’origine du lac de la chute d’une grosse météorite. Les eaux du ruisseau “Rêve” remplissaient l’entonnoir avec le temps, et les qualités inhabituelles du corps céleste donnaient à l’eau et au limon des propriétés curatives.
En 2012, Kovalenko a découvert un autre phénomène étrange au large de Shira.
Après avoir récupéré le sable du lac avec les mains, le professeur a découvert beaucoup de fractions magnétiques adhérant.
Il a suggéré que ceux-ci sont des restes d’anciens vaisseaux spatiaux dans lesquels l’élément Scandium a été contenu.
Ces particules ont montré une composition complexe, ce qui a été confirmé par le futur examen.
Des fractions similaires ont été trouvées près des lacs Shunet et Matarak.
L’analyse par rayons X des pièces de plaques a montré qu’elles ont une structure complexe comprenant le silicium, l’aluminium, le magnésium, le fer, le strontium, le niobium et l’yttrium.
Les experts ont confirmé que de tels alliages complexes sont utilisés uniquement dans les industries spatiales et militaires.
Comment ces éléments se sont-ils révélés être ici ?
La grande question !
Le phénomène Okunevo !
En plus du travail de Guennadi Kovalenko, il n’y a pas seulement ces histoire de base Sirienne mais aussi l’interprétation des pétroglyphes de la culture archéologique Okunev.Pour ceux qui ne connaissent pas, je vais vous expliquer que cette culture n’a rien à voir avec le phénomène bien connu du village Okunevo de région d’Omsk.
Selon les idées de notre science académique, la culture d’Okunev est la culture archéologique sud-sibérienne des éleveurs de l’âge du bronze du 2ème millénaire avant notre ère.
Le nom est très conditionnel et donné en l’honneur d’Okunev Ulus dans le sud de Khakassia, où pour la première fois en 1928 un cimetière de cette culture a été trouvé.
Nous n’entrerons pas dans les détails de cette culture, les archéologues ont déjà suffisamment brodé sur cette question, mais nous ne nous arrêterons que sur les images mystérieuses qu’ils ont été laissées sur les rochers à travers la région de Khakassia.
Admirez simplement les étranges créatures à trois yeux, semblables au soleil, imprimées sur les stèles et les menhirs de Khakassie.
Ce ne sont que quelques-uns d’entre eux.
Qui sont ces êtres "rayés de moustaches" ?
Les dieux avec lesquels le peuple d’Okunevka a maintenu le contact et qui a donné aux gens la connaissance d’autres mondes ?
Pourquoi les images des masques sont-elles toujours côte à côte avec une variété de signes solaires ?
Apparemment, la conscience des Okunevites ou d’une caste individuelle de ce peuple, allait bien au-delà des limites de la vision du monde de l’homme ancien, puisque leurs dieux étaient conscients de la structure cosmique de l’univers.
Quand j’ai vu tout ça je suis parti dans des recherches en m’appuyant sur les travaux déjà connues après avoir étudié le livre "Sculptures et Stèle Okunevskaya culture" , auxquels Gennady Kovalenko fait référence dans ses écrits.
Il y avait la composition d’image typiques des stèles Khakassiennes.
Les archéologues n’ont pas été capables de comprendre ce que les Okunevtsy voulaient transmettre dans leur travail.
L’archéologue bien connu du siècle dernier Okladnikov les a désignés comme "muets", puisque dans les sépultures d’Okunev il n’y avait pas de clés pour comprendre les mystérieux pétroglyphes de cette époque.
Après avoir analysé les vestiges d’Okunevka, Gennady Kovalenko a révélé un certain nombre de points communs qui unissaient toutes ces images.
En plus de la correspondance déjà mentionnée avec des signes solaires, qui ne sont pas non plus là accidentellement dans la composition, les visages sont principalement à trois yeux, ce qui indique leur niveau spirituel important, l’Oeil astral étant comme on le suppose situé au niveau de la glande pituitaire.
Les symboles solaires sont également aux bons endroits de la composition et souvent les lignes sont connectées aux visages.
Parfois, ils sont affichés en surimpression sur la zone des yeux et des lèvres.
Une place particulière dans l’interprétation est l’explication de la présence des cornes et des oreilles des dieux anciens. Les cornes, comme on le sait dans la mythologie antique, ont été attribuées aux essences divines, et les oreilles symbolisent la relation à l’animal totémique.
Kovalenko, dans ses études, a essayé de trouver dans les images d’Okunev la confirmation de sa théorie technogénique de l’intervention extraterrestre des représentants de Sirius dans les affaires des terriens.
– Les dessins de cette époque sont si mystérieux qu’ils ne sont pas soumis à l’ interprétation jusqu’à aujourd’hui, mais ils ont attirés mon attentation grâce auux correspondances avec des vaisseaux spatiaux, des constellations et des relais des éléments interplanétaires. (Kovalenko)
Dans une variété d’images anthropomorphes, le professeur de Krasnoïarsk a pu identifier ceux qui, dans une plus grande mesure, correspondaient plus en détail, à des objets technologiques.
Ceux-ci pourraient être des images de vaisseaux spatiaux et terrestres, ainsi que divers dispositifs pour effectuer certains processus.
Par exemple, cette image sur la droite dans l’opinion de Kovalenko est une image symbolique d’un vaisseau spatial extraterrestre.
Sous la coquille en forme d’œuf se trouve une centrale nucléaire, et à l’intérieur, un réacteur équipé de barres d’alimentation et de contrôle.
Une turbine est indiquée dans la partie inférieure de la coque.
Bien sûr, Guennadi Kovalenko ne parle pas du côté spirituel de la question mais il recherche dans les images d’Okunev seulement une manifestation de la présence d’anciens extra terrestre Siriens sur la terre.
Cependant, à en juger par mes informations les Siriens n’avait pas l’air tellement original, avec le crâne allongé et les yeux en forme d’amande.
Dans le même ordre d’idée, sur les menhirs Khakassian, nous voyons des créatures à trois yeux avec le visage arrondie et très "poilu", qui peut symboliser la puissance créatrice, semblable à une dominance solaire.
Les traces purement solaires dans les pétroglyphes de cette époque sont également suffisants (pour comprendre ndt).
Étaient-ils manifestés dans la matière à ce moment-là, ou venaient-ils aux prêtres dans un corps subtil, et quel genre d’expérience l’homme ancien pouvait-il transmettre et ce alors que rien de tout cela n’était connu ?
La culture d’Okunev n’a pas laissé de réalisations techniques significatives, mais il y a plus que des motifs philosophiques. Sur certains pétroglyphes, il y a des contacts étranges des dieux du Soleil avec un homme ancien.
Gennady Kovalenko les a également notés et a présenté sa théorie au monde scientifique.
Théorie panspermique du paléocontact.
Sur beaucoup de stèles et dans les Écritures de Khakassie, il y a des sujets très étranges de la relation des dieux Okunev avec les humains et les animaux.Rien qu’en regardant ce pétroglyphe fait par un artiste antique sur le mont Tarpig.
Ici, nous voyons deux hommes dans un fort degré d’excitation sexuelle qui exécutent une sorte de danse rituelle avec la déité d’Okunev qui les survole.
Quel était le but de cette orgie / transe ?
Personnellement, je peux supposer que c’est une sorte de technique pour échanger des énergies comme les techniques taoïstes ou le yoga tantrique.
De telles pratiques avec les Déités à tout moment auraient conduit à un renouvellement génétique et spirituel de la nature humaine, qui aurait élevé l’humanité dans un nouveau niveau évolutionnaire.
Une autre histoire montre la fécondation des hommes et des femmes par une civilisation dont la signification symbolique est représentée dans le signe solaire.
Kovalenko a suggéré que c’est le signe de Sirius.
Et il avait de bonnes raisons pour ça.
Les expériences génétiques à l’époque traitaient à la fois des civilisations et de notre système solaire : la Lune, Mars et d’autres systèmes stellaires.
La Terre a alors agi comme un terrain d’essai biologique, où de nouvelles formes de vie ont été créées, différentes des formes cosmiques.
– On peut supposer que cela a été fait en fertilisant les formes terrestres existantes avec des graines d’autres systèmes.
En même temps pour préparer les nouvelles formes de matériel génétique à partir de la Terre on a exporté tout ce qui pourrait être la base qu’une vie protoplasmique (ndt les E.T voulaient d’autres matériel génétique à partir de notre).
Les écritures sont restées sous la forme d’un système stable de cartographie symbolique sur les nombreuses stèles de Khakassia, en Mongolie, en Sibérie, et pointent vers une base industrielle mondiale. Kovalenko
Ce qui est particulièrement remarquable dans l’aspect de la théorie de Kovalenko est cette composition sur la droite, où il est clairement indiqué une sorte l’insémination de l’espace par l’Être.
Ici il est montré un incubateur sélectif pour la reproduction de nouvelles espèces basées sur les humains et les animaux.
Cela peut être imaginé comme un message que la vie dans l’espace est apparue comme le fruit de l’activité des Êtres du Cosmos.
Cependant, parmi les signes et symboles il existe d’étranges combinaisons d’éléments anthropologiques et technologiques.
Sur cette stèle (photo ci-dessous à gauche) se trouvent deux images anthropomorphes situées l’une au-dessus de l’autre.
Dans ce cas, le masque supérieur est accompagnée d’une aura de lignes, symbolisnt la transmission des chromosomes et la forme des spermatozoïdes, et la baisse de leurs contours tranchants résultats de l’image de l’homme pour la construction d’une forme antropomorphe.
C’est apparemment une sorte de creuset génétique, où la vie est née.
En tenant compte que à côté de cette même stèle on trouve des pétroglyphes, qui représentent une créature étrange.
On pense à un mutant avec une excroissance sur la colonne vertébrale et le cordon ombilical de l’embryon a un lien direct avec un signe solaire, qui caractérise l’ espace intelligent – cette hypothèse a une grande part de probabilité.
Sa signification est que les entités d’autres systèmes stellaires ont navigué vers la Terre pour effectuer la reproduction.
Dans la même collection, vous pouvez voir les différentes espèces de créatures qui sont des espèces vivantes inconnues, et qui représentent également la preuve des expériences génétiques des théorie Kovalenko des extra – terrestres sur leur créatures incubées (ndt) humaines et les animaux dans le but de la sélection de nouvelles espèces.
Gennady Dmitrievich a remarqué sur les pétroglyphes Okunev et beaucoup d’autres confirmations de la théorie du panspermisme.
Je ne vais pas vous donner ici les multiples dessins auxquels Kovalenko a fait référence dans son travail, vous pouvez les examiner en détail dans le livre déjà mentionné “Les statues et les stèles de la culture Okunevo ” .
Chaque stèle a un numéro de série, selon lequel vous pouvez vérifier par vous même la véracité des arguments du professeur Krasnoyarsk.
Et maintenant, à propos de ce que Kovalenko a vu dans les sculptures d’Okunev.
– Sur la stèle 99, les symboles solaires montrent des systèmes à différents niveaux reliés par des éléments phalliques qui crachent une graine.
Si nous considérons la façon dont tout cela est agencé, et résoudre certaines énigmes, alors la phrase devient claire: "Les systèmes qui émettent de la lumière (la connaissance) transmettent la semence de l’esprit à des systèmes imparfaits, mais vivants. Imparfait, mais vivant peut être le système solaire, où le point central est le Soleil, et le cercle symbolise son environnement, c.-à-d. la planète.
On comprend que plus il y a de cercles dans le signe solaire, plus le statut du système est élevé, car le cercle ne reflète pas le nombre d’orbites des corps célestes, mais les sphères d’information ou, on peut dire le cercle d’intérêts (ndt centre d’intérêt).
L’image décrite, le signe du phallus et de la graine, qui sont présents dans de nombreux pétroglyphes, devient compréhensible.
Ces éléments symbolisent la transformation des formes vivantes à travers la sélection et la génétique.
Le processus de reproduction, apparemment, s’est produit comme un acte volontaire, et forcé.
Ayant une connaissance moderne des expériences génétiques, on peut supposer que le matériel génétique a été prélevé sur les humains et les animaux.
Il est possible que ces dessins aient servi d’aide visuelle à la formation des “éleveurs” anciens (ndt sélectionneurs, capable de faire des crosiements génétiques).
Évidemment, un tel travail a été confié comme un hommage ou une glorification de toute “bonne action” des extraterrestres.
Sur un grand nombre de pétroglyphes d’Okunev 14; 46; 84; 99; 100 – 103; 108 111; 140; 151; 154; 194; 212; 288; 290 il y a des éléments semblables à des graines dispersées.
Un acte spécifique de saisie et de manipulation des organes reproducteurs chez l’homme est montré sur la figure 20; 25; les pétroglyphes 110; 151; 186.
La même procédure avec les animaux est montrée sur les pétroglyphes 108; 167.
Cela suggère un intérêt particulier à ces éléments qui nous permet de donner une orientation sur un paléocontact ou une panspermie, théorie selon laquelle les civilisations extra-terrestres seraient un collecteur ou chassaient la semence humaine et animale à des fins génétiques.
Ceci est donné dans l’image représentée sur la Stèle 151. ou les pétroglyphes peuvent lus comme : “les gens de l’espace sont l’espace inséminées (une personne avec phallus excité et le sperme)”
De telles parcelles nous permettent de comprendre que les habitants de la Terre et du Cosmos attachent une importance particulière aux problèmes de la conservation non seulement des genres, mais aussi du maintien des espèces existantes sans les dégrader dans le processus de reproduction.
Le transfert de la semence, apparemment, a été fondé de façon industrielle dans diverses parties dans le monde antique. (Kovalenko)
Les théories sur les expériences génétiques de l’intelligence extraterrestre ne sont pas nouvelles dans l’environnement des "scientifiques alternatifs".
La terre à cette époque était un terrain fertile pour mener des expériences génétiques dans le but d’y introduire diverses formes de vie, y compris des formes raisonnables, ainsi que d’améliorer les espèces existantes.
Engagés dans ce processus ils n’y aurait pas seulement les Siriens.
Parmi les grandes civilisations que j’ai connues, les représentants d’Orion et des Pléiades, ainsi que de nombreuses petites civilisations, à la fois lumineuse et obscures ont “cultivé” la Terre.
Conclusions faites par Kovalenko pour des années de recherche !
1. Le territoire de la Khakassie, il y a des dizaines de milliers d’années, était habité par les habitants issus de la sélection des tribus sauvages par les représentants de la civilisation Sirienne, qui possédaient une technologie qui surpasse notre niveau moderne.Sur les rives des lacs Shira, Itkul s’installa dans la grande ville de Shi-Ra (Sirius).
2. Il y a environ dix mille ans, la plus grande partie de la population a été détruite sous une pluie de météorites, à partir d’un planétoïde (Nibiru) apparaissant périodiquement dans le système solaire.
3. La civilisation Sirienne avait une culture technique très développée, à la fois en termes de technologie de traitement des matériaux et de transport.
Les sources d’énergie étaient autonomes et se trouvaient sur des engins spatiaux, de sorte que les vaisseaux étaient invariablement présents même dans les événements nationaux.
La présence de processus radioactifs découle du fait que tous les vaisseaux ont un champ de rayonnement, et les inscriptions indiquent un avertissement que l’approche du vaisseaux est dangereuse pour la vie.
4. Après la mort du système Sirien, la culture de ses habitants a été partiellement dispersé dans le groupe des peupes des Turski et les hautes technologies, en raison du sous-développement de l’humanité, ont été perdues.
L’opinion de l’auteur : Le lac Shira et ses environs sont certainement l’un des centre énergétique de la Terre situé dans le nord de la Khakassie.
Ceci est indiqué par des faits tels que la guérison et l’ancienneté du lac.
Les travaux de G.D.Kovalenko sont d’ un intérêt particulier pour les partisans des théories de paléocontact et pour moi personnellement, en tant qu’homme pour comprendre l’implication Sirienne dans le développement des grandes civilisations de Khakassie du Nord.
Cet endroit est trrès proche d’un autre lieu de culte Soundouki et qui permet de confirmer que ce complexe fut un lieu de calcul de la période d’arrivée des “dieux des étoiles”, en utilisant des “routes paléocosmiques”.
Les hypothèses sur les restes de structures artificielles sous le fond du lac Shira et les sépultures des étrangers dans les tumulus restent en question.
Rostovtsev Sergey
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Source : Lieux de pouvoir de Khakassie. Lac ShiraPublié par : Néo Trouvetout
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